Amitié Virtuelle...
Je viens de trouver ce joli texte sur l'amitié et je vous le dédie à toutes et tous
Amitié Virtuelle...
Ingrédients :
* 1 inconnu(e)
* un peu de politesse
* 1 gros soupçon d'honnêteté
* 1 énorme pincée de sincérité
* 1 filet de franchise
* Quelques bisous
* Beaucoup de fidélité
L'amitié d'un jour,
Dure pour toujours.
C'est une chose naturelle,
Quand elle est virtuelle.
Donner sans attendre en retour,
Ce petit bonheur chaque jour.
On se lie, on s'uni,
Et l'harmonie se garde à vie.
On se remonte le moral,
Quand tout va mal.
On ne se fait jamais de peine,
Car on ne connaît pas la haine.
Les kilomètres nous séparent,
Mais ce n'est pas une tare.
La toile nous rapproche,
Et avec elle on s'accroche.
Entre nous aucune malice,
Pas besoin d'artifices.
Ce qui la rend belle,
C'est cette étincelle.
L'amitié restera sacrée,
Et ne pourra s'acheter.
Ce mot est unique,
Tout en étant magique...
Bisous bisous Nénette
Ma petite Nénette je viens de mettre ton texte ici, car dans les coms il se serait perdu
Il est trop beau .... Merci à toi
Bisous
Pat
Bonjour printanier !!!!
Bien le bonjour à vous mes amis(es)
Premiers jours de printemps ce 20 mars, espérons voir quelques rayons de soleil, pour embellir notre journée.....
Quoi que vous fassiez, je vous souhaite un bon mercredi, que celui ci soit doux et pleins de tendresse
Je vous mets ce petit poème que je trouve joli......
La noce des oiseaux
Les arbres se sont habillés de couleurs pastels,
Jonquilles, crocus ont bravé la fraîcheur du temps,
Que déjà, les oiseaux publient leurs noces dans le ciel.
Neiges et froidures sont parties : " vive le Printemps ! "
Immense symphonie, où des millions de fleurs,
Se mélangent en un jour, aux bourgeons de velours
D'un coup de baguette magique : le ciel sort ses couleurs
Pour éblouir nos yeux, il devient troubadour.
Dans un ballet de cabrioles fantastiques
Les oiseaux dansent, s'accouplent et préparent leur nid,
Guidés par une force invisible et mystique,
Leur chant monte en hommage : au Maître de Symphonie.
Les oiseaux se sont embrassés sur les branches,
Et des angelots coquins ont ajusté leurs flèches...
Etrange ! tout ce que le Printemps en un jour change !
Les arbres se sont habillés de couleurs pastels,
Tandis que sous leurs branches les amoureux de mèche,
Se content fleurette quand roucoulent les tourterelles.
Jean-Claude Brinette
1er Mai
La comptine du muguet
Il était, dans la mousse, un tout petit muguet.
Il avait l'âme douce, embaumant la forêt.
Soudain, une fillette passe par le chemin
et voyant la fleurette, la coupe avec la main.
Pourquoi m'as-tu coupée ? dit la fleur de muguet,
tu m'as toute blessée pour parer ton bonnet.
Non, répond la fillette, oh muguet, mes amours,
je ne suis pas coquette, je veux t'aimer toujours....
(auteur inconnu)
Célébration du 14 juillet dans la forêt DE VICTOR HUGO
Célébration du 14 juillet dans la forêt.
Qu'il est joyeux aujourd'hui
Le chêne aux rameaux sans nombre,
Mystérieux point d'appui
De toute la forêt sombre !
Comme quand nous triomphons,
Il frémit, l'arbre civique ;
Il répand à plis profonds
Sa grande ombre magnifique.
D'où lui vient cette gaieté ?
D'où vient qu'il vibre et se dresse,
Et semble faire à l'été
Une plus fière caresse ?
C'est le quatorze juillet.
À pareil jour, sur la terre
La liberté s'éveillait
Et riait dans le tonnerre.
Peuple, à pareil jour râlait
Le passé, ce noir pirate ;
Paris prenait au collet
La Bastille scélérate.
À pareil jour, un décret
Chassait la nuit de la France,
Et l'infini s'éclairait
Du côté de l'espérance.
Tous les ans, à pareil jour,
Le chêne au Dieu qui nous crée
Envoie un frisson d'amour,
Et rit à l'aube sacrée.
Il se souvient, tout joyeux,
Comme on lui prenait ses branches !
L'âme humaine dans les cieux,
Fière, ouvrait ses ailes blanches.
Car le vieux chêne est gaulois :
Il hait la nuit et le cloître ;
Il ne sait pas d'autres lois
Que d'être grand et de croître.
Il est grec, il est romain ;
Sa cime monte, âpre et noire,
Au-dessus du genre humain
Dans une lueur de gloire.
Sa feuille, chère aux soldats,
Va, sans peur et sans reproche,
Du front d'Epaminondas
À l'uniforme de Hoche.
Il est le vieillard des bois ;
Il a, richesse de l'âge,
Dans sa racine Autrefois,
Et Demain dans son feuillage.
Les rayons, les vents, les eaux,
Tremblent dans toutes ses fibres ;
Comme il a besoin d'oiseaux,
Il aime les peuples libres.
C'est son jour. Il est content.
C'est l'immense anniversaire.
Paris était haletant.
La lumière était sincère.
Au loin roulait le tambour...?
Jour béni ! jour populaire,
Où l'on vit un chant d'amour
Sortir d'un cri de colère !
Il tressaille, aux vents bercé,
Colosse où dans l'ombre austère
L'avenir et le passé
Mêlent leur double mystère.
Les éclipses, s'il en est,
Ce vieux naïf les ignore.
Il sait que tout ce qui naît,
L'oeuf muet, le vent sonore,
Le nid rempli de bonheur,
La fleur sortant des décombres,
Est la parole d'honneur
Que Dieu donne aux vivants sombres.
Il sait, calme et souriant,
Sérénité formidable !
Qu'un peuple est un orient,
Et que l'astre est imperdable.
Il me salue en passant,
L'arbre auguste et centenaire ;
Et dans le bois innocent
Qui chante et que je vénère,
Étalant mille couleurs,
Autour du chêne superbe
Toutes les petites fleurs
Font leur toilette dans l'herbe.
L'aurore aux pavots dormants
Verse sa coupe enchantée ;
Le lys met ses diamants ;
La rose est décolletée.
Aux chenilles de velours
Le jasmin tend ses aiguières ;
L'arum conte ses amours,
Et la garance ses guerres.
Le moineau-franc, gai, taquin,
Dans le houx qui se pavoise,
D'un refrain républicain
Orne sa chanson grivoise.
L'ajonc rit près du chemin ;
Tous les buissons des ravines
Ont leur bouquet à la main ;
L'air est plein de voix divines.
Et ce doux monde charmant,
Heureux sous le ciel prospère,
Épanoui, dit gaiement :
C'est la fête du grand-père.
VICTOR HUGO
Un texte que je voulais partager
Profiter de chaque jour!

Je ris souvent, je voudrais m’éclater
J’aime profiter de chaque journée
Déjà très tôt quand je m’éveille
Surtout, s’il fait un beau soleil
Chaque jour est beau si je suis bien
Je me fous de ce que sera demain
Je veux profiter de mon aujourd’hui
Crier bien fort que c’est beau la vie
Mais je suis un être humain
Il arrive que j’en sois moins certain
Que je tende à oublier des choses
Que surtout hier tout était rose
Je trouve que plus rien n’est pareil
J’oublie même qu’il faisait soleil
Alors je cherche, je voudrais trouver
Trouverais-je un moyen de me rappeler
Que la vie aussi peut être compliquée
Qu’on ne vit pas toujours en été
Que les mauvais jours que nous vivons
Nous aident au fond, à apprécier les bons
Je devrais très fort remercier la vie
Qui serait monotone s’il n’en était pas ainsi
Texte Claude Marcel Breault
35 années de mariage
Lorsque l'on se marie,
On ne sait pas vraiment
De quoi sera remplie
La vie qui est devant...
Et le temps se garnit
De larmes et de rires...
Et les âmes se lient
En affrontant le pire...
Si le chemin fut ronces, il fut aussi de fleurs
Et c'est au fil du temps que fusionnent les coeurs.
Après bien des années,
En faisant le bilan,
Ne gardez du passé
Que les plus beaux moments !
De cette vie passée
Ensemble à avancer,
Regardez les bonheurs,
Et oubliez les pleurs...
Continuez le chemin
Sans vous lacher la main
En sachant que c'est joie
D'être tous les deux là.
auteur : Daninette
Au printemps
Au printemps on est un peu fou.
Toutes les fenêtres sont claires,
Les champs sont plein de primevères,
On voit des nouveautés partout.
Les oiseaux chantent à tue-tête,
Et tous les enfants sont contents.
On dirait que c'est une fête...
Ah! Que c'est joli le printemps!
Lucie DELARUE-MARDRUS
C'est l'heure du thé (saveur miel, orange, vanille). J'espère que votre après midi se passe bien. A tout à l'heure.
LA NEIGE
ça fait maintenant un peu moins d'une heure que la neige c'est remis à tomber
La neige
Regardez la neige qui danse
Derrière le carreau fermé.
Qui là-haut peut bien s'amuser
A déchirer le ciel immense
En petits morceaux de papier ?
Pernette Chaponnière
Le sapin de noël (ou le petit sapin sous la neige)
Le petit sapin sous la neige
Rêvait aux beaux étés fleuris.
Bel été quand te reverrai-je ?
Soupirait-il sous le ciel gris.
Dis moi quand reviendra l’été !
Demandait-il au vent qui vente
Mais le vent sans jamais parler
S’enfuyait avec la tourmente.
Vint à passer sur le chemin
Un gaillard à grandes moustaches
Hop là ! en deux coups de sa hache,
A coupé le petit sapin.
Il ne reverra plus l’été ,
Le petit sapin des montagnes,
Il ne verra plus la gentiane,
L’anémone et le foin coupé.
Mais on l’a paré de bougies,
Saupoudré de neiges d’argent.
Des clochettes de féerie
Pendent à ses beaux rameaux blancs.
Le petit sapin de noël
Ne regrette plus sa clairière
Car il rêve qu’il est au ciel
Tout vêtu d’or et de lumière.
Pernette Chaponnière
Citation
La lune au jour est tiède et pâle
comme un joyeux convalescent.
Tendre, elle ouvre ses yeux d'opale
d'où la douceur du ciel descend
~~ Victor Hugo ~~